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Travailler à RBC n’était pas ce à quoi je m’attendais; c’est tout ce dont j’avais besoin.

Auteur : Mark Hamill, directeur, Communications – Services bancaires aux particuliers et aux entreprises, grande région de Toronto
Temps de lecture : 4 minutes

Dans ma jeunesse, je ne souhaitais nullement travailler dans une banque. Bien que j’enviais un peu mes amis qui obtenaient avec l’aide de leurs parents des emplois d’été et à temps partiel bien rémunérés, les banques n’étaient pour moi que des chiffres et de l’argent. Et bien que j’étais doué en mathématiques et que je n’avais pas horreur des finances, ce n’était pas une carrière que je pensais aimer.

Quelques années plus tard, après avoir obtenu mon diplôme de premier cycle, avoir voyagé en Europe et occupé quelques emplois de bureau et du secteur du détail, j’ai décidé de retourner aux études pour devenir un rédacteur d’annonces publicitaires. Ironiquement, mon premier emploi à temps plein en publicité impliquait de rédiger des annonces pour des institutions financières. Il a pris fin lorsque mon principal client a été acheté par une autre des cinq grandes institutions financières.

Pendant que je cherchais un autre emploi et que j’envoyais des CV à d’autres agences de publicité, il me fallait encore me nourrir, payer mon loyer et éviter de faire payer toutes les factures par ma copine. La sœur d’un de mes amis, qui travaillait dans une agence de placement temporaire, m’a rapidement trouvé un emploi de quelques heures par semaine à RBC, où je m’occupais des dépenses dans le groupe des PIR du bureau national. Deux choses m’ont immédiatement marqué : les gens et la culture d’entreprise. Ce n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. Puisque je provenais d’un milieu où la devise était « travailler fort et jouer dur en tout temps », j’ai trouvé rafraîchissant de voir que les gens travaillaient fort, tout en maintenant un équilibre, des valeurs communes et un soutien collectif au bien-être des communautés, au-delà de la prochaine campagne publicitaire destinée à la clientèle. J’étais aussi surpris d’apprendre qu’avec ses dizaines de milliers d’employés, une banque est essentiellement un microcosme de la société et que tout travail pouvant exister à l’extérieur d’une banque peut probablement s’y retrouver d’une façon ou d’une autre.

Peu de temps après, on m’a offert deux emplois administratifs au sein de ce qui était autrefois l’équipe nationale des Services aux entreprises. Les deux options étaient intéressantes, mais l’une était à temps plein et l’autre était contractuelle. J’ai donc choisi l’offre à temps plein, charmé par le fonds de pension et le régime d’assurance maladie et dentaire. Bien que je n’étais pas sur le plancher, c’était une belle occasion d’en savoir plus sur le fonctionnement de nos activités. J’ai aussi eu la possibilité d’interagir avec des gens dont les responsabilités chevauchaient des choses que je connaissais un peu : rédaction, publicité et conception graphique.

À partir de là, j’ai commencé à bâtir ma carrière et mon réseau au sein de RBC, ainsi que ma marque personnelle. En un an et demi, j’ai fini par arriver à un rôle en communications dans l’équipe Efficacité des ventes du bureau national, où, au cours des huit années suivantes, j’ai acquis de l’expérience, appris sur la Banque et gravi les échelons. À partir de là, un poste unique qui correspondait bien à mes compétences s’est présenté : gérer le marketing local de RBC pour le relais du flambeau olympique. Cinq ans et trois rôles en marketing plus tard, une autre occasion s’est présentée qui impliquait tant les communications que le marketing. Encore mieux, ce rôle impliquait de collaborer avec de nombreux employés de RBC avec qui j’avais travaillé auparavant et que je respectais beaucoup. Cinq autres années plus tard, j’occupe toujours ce poste et j’adore ça.

Bien que ce cheminement de carrière peut sembler rectiligne, il est en fait plus sinueux que celui de la plupart de mes collègues. Au fil des ans, j’ai perfectionné mon éventail de compétences pour y inclure la relation avec les médias, la gestion de problèmes, la rédaction de discours, la gestion d’événements, la gestion de projets, l’architecture de l’information, l’achat d’espaces, etc.

Mais par-dessus tout, j’ai acquis des compétences générales en cours de route qui s’appliquent à n’importe quel rôle. Bien que je n’aie jamais eu de mentor officiel, j’ai mis un point d’honneur à être à l’écoute de nombreuses personnes à l’esprit vif avec qui j’ai eu le privilège de travailler et à apprendre de celles-ci. Certaines avaient même occupé des rôles spécialisés qu’on ne s’attendrait pas à retrouver dans une banque. Je suis aussi chanceux d’avoir eu des gestionnaires qui m’ont donné assez de jeu pour commettre des erreurs et apprendre de celles-ci, mais pas suffisamment pour échouer totalement. Les gestionnaires me laissaient respirer lorsque j’en avais besoin et qu’ils savaient que j’étais débordé. De plus, ils m’ont poussé à exceller dans mon poste actuel tout en songeant au prochain poste que je pourrais occuper.

Dans le monde de la publicité, les gens s’épuisent professionnellement avant d’atteindre 40 ans et ils changent d’entreprise comme ils changent de chemise. À RBC, après 17 ans, je me sens encore comme un nouveau venu comparativement à beaucoup de mes collègues. On dirait bien que ma décision de travailler pour une banque a porté fruit. J’adore mon travail, la copine à qui je ne voulais pas faire payer toutes les factures est devenue ma femme, et j’espère relever bien d’autres défis intéressants à RBC avant de finalement prendre ma retraite.
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Tous ceux qui disent qu’on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre n’ont jamais travaillé pour RBC!

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En tant que directeur, Communications de la grande région de Toronto, Mark est responsable des communications externes et internes, y compris des relations publiques, de la publicité, de l’achat d’espace, de la rédaction de discours, des conférences et de la gestion de problèmes. Au cours de ses 18 années à RBC, Mark a pu occuper de nombreux rôles variés en communication et en marketing. Avant de se joindre à RBC, il a travaillé en tant que rédacteur d’annonces publicitaires, créant des publicités pour, entre autres, Apple, Bell, Chrysler, TSN et Pizza Hut. Mark a fait ses études à l’Université Queen’s et habite à East York avec sa femme Angela et leurs deux enfants. Il espère un jour voir les Maple Leafs de Toronto gagner la Coupe Stanley, mais il pourrait se contenter de voir les Raptors remporter la finale de la NBA.