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Un problème bien ancré : Le passage de l’université au marché du travail – Mon parcours dans le cadre de Lancement de carrière RBC

Temps de lecture : 5 minutes
De nombreux diplômés sont prisonniers du cycle « pas d’expérience, pas d’emploi » lorsqu’ils cherchent à décrocher un premier emploi après leurs études.
Le programme Lancement de carrière RBC vise à mettre fin à ce cycle et à remédier aux enjeux de chômage et de sous-emploi chez les jeunes qui touchent les diplômés partout au Canada.

Nous avons demandé à trois participants de nous parler de leur expérience en ce qui concerne le passage des études à la vie professionnelle et du parcours qui les a menés au programme Lancement de carrière RBC. Comment décriraient-ils leur expérience en un mot? Voici ce qu’ils ont répondu. 
Collage de trois associés au Programme Lancement de Carrière, chacun tenant une feuille de papier avec un mot écrit dessus. De gauche à droite, les mots sont: ambiguous (ambigu), directionless (sans direction), et trailblazing (avant-garde).
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Aleena éprouvait de la difficulté à se trouver un emploi après ses études, non seulement en raison de son statut de diplômée, mais également parce qu’elle venait d’arriver au pays.
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L’adaptation à un nouveau pays, à une culture différente et à des pratiques de travail inconnues constituait un défi pour Aleena, mais trouver un emploi dans ce nouvel environnement en était tout un autre.

« Mon arrivée au Canada semblait être une grande barrière qui s’ajoutait à mon statut de diplômée. Les recruteurs utilisaient mon manque d’expérience et le fait que je ne venais pas d’ici comme prétextes pour refuser ma candidature. J’ai commencé à sentir que je n’avais pas ma place et que j’avais peu de valeur pour le marché d’ici. »

Les choses ont changé lorsque Aleena s’est jointe au programme Lancement de carrière RBC. Comme RBC accorde une grande importance à la diversité, elle s’est sentie valorisée, et l’expérience de travail unique offerte dans le cadre du programme lui a donné confiance en sa capacité à se distinguer dans le cadre d’un processus d’embauche futur. Elle est désormais motivée à poursuivre une carrière en ressources humaines, un domaine qui la passionne.
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Le grand ami de Jack a toujours voulu étudier les ouragans. Mais pour Jack, déterminer un objectif de carrière n’a pas été aussi facile.
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Jack a d’abord entrepris des études en comptabilité à l’université de Waterloo, mais il a rapidement réalisé que le domaine ne lui convenait pas. Après avoir effectué le passage à la majeure en économie, il s’est rendu compte qu’il ne savait pas ce qu’il voulait faire après l’université. Comme il n’aspirait à aucun cheminement de carrière précis, sa recherche d’emploi s’est compliquée, sans compter le piège du cycle « pas d’expérience, pas d’emploi ». 

Le plus grand défi de Jack lors de cette transition était le fait qu’il ne possédait pas de réseau professionnel, et encore moins la visibilité et la flexibilité nécessaires pour s’en bâtir un. Il a travaillé auprès de l’une des cinq grandes banques du pays avant de se joindre au programme Lancement de carrière. Les occasions d’apprentissage, de découverte et de perfectionnement en tant que professionnel offertes par RBC l’ont convaincu de se joindre au programme.

« Dans mon emploi précédent, je n’avais pas la flexibilité nécessaire pour rencontrer les gens en personne, ce qui m’a empêché de bâtir une relation solide avec qui que ce soit. Le programme m’a permis de surmonter cet obstacle grâce au temps consacré au perfectionnement professionnel et à l’exposition aux différents réseaux de professionnels. »
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Katrina a obtenu un diplôme dans un champ d’études dont elle ne voulait pas faire une carrière, alors elle a parcouru le globe à la recherche de la bonne occasion.
Katrina a étudié à l’université Western, mais c’est après l’obtention de son diplôme en journalisme qu’elle a réalisé qu’elle ne voulait pas devenir journaliste. Même si ce constat l’effrayait, il lui a offert la liberté de rechercher d’autres occasions, ce qui l’a amenée à enseigner l’anglais en Corée du Sud et à voyager en Asie du Sud. Pendant sa recherche d’emploi après ses études, Katrina a réalisé les conséquences du manque de compétences, d’expérience et de contacts professionnels.

« La recherche d’emploi est un cycle insidieux. On peut détenir les compétences nécessaires, mais personne ne veut nous embaucher parce qu’on n’a pas suffisamment d’expérience ou l’expérience recherchée, c’est-à-dire qu’aucune entreprise de renom n’apparaît sur notre CV. »

Depuis, le programme Lancement de carrière a propulsé les compétences, l’expérience et le réseau de Katrina. « J’ai eu la chance de vivre des expériences de travail exceptionnelles, d’acquérir et de renforcer un grand nombre de compétences que je possédais déjà grâce à ces expériences. J’ai aussi été en mesure de rencontrer des gens exceptionnels pour bâtir mon réseau. » 
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Quel conseil donneriez-vous aux jeunes professionnels qui passent des bancs d’école au marché du travail?

Aleena: Commencez à réfléchir à votre marque personnelle : pour quelle compétence voulez-vous être reconnu? Aussi, soyez ouverts aux différentes occasions, aux nouvelles expériences et aux nouveaux apprentissages!

Jack: Soyez curieux et faites votre marque. Une fois que vous aurez pris le temps d’apprendre le rôle que vous occupez, entretenez votre curiosité pour ce qui vous entoure. L’objectif, c’est de comprendre les pièces individuelles du portrait d’ensemble pour déterminer où se trouve votre place et comment vous pouvez créer un impact positif sur l’entreprise.

Katrina: Ne soyez pas trop dur avec vous-même si vous ne savez pas du tout ce que vous faites ou ce que vous voulez faire. La vie n’est pas linéaire : il existe tellement de chemins différents à emprunter.
Lisa est passionnée par l’écriture, l’apprentissage constant et le partage des connaissances. Elle est actuellement une associée du programme Lancement de carrière RBC et possède un baccalauréat et une maîtrise en anthropologie. Dans ses temps libres, elle danse le swing et est toujours à la recherche du prochain morceau qui s’ajoutera à sa collection de vêtements vintage.

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FAQ avec Dave McKay, président et chef de la direction à RBC

 Auteur : Dave McKay, président et chef de la direction à RBC
Temps de lecture : 4 minutes