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Adoption d’une approche mondiale
RBC de cyberdéfense

Dans un monde numérique de plus en plus complexe, la cybersécurité est une priorité constante pour la plupart des organisations, y compris RBC. Au cours des dernières années, la fréquence et la complexité des cyberattaques ont augmenté, en grande partie à cause de l’IA et de l’automatisation.


En fait, les cyberattaques sont devenues un marché lucratif qui, d’ici la fin de l’année 2025, pourrait coûter aux multinationales plus de 10 billions de dollars américains[i]. Pour renforcer ses efforts en matière de sécurité, RBC peut compter sur une équipe grandissante d’experts en cybersécurité qui gèrent et atténuent les cyberincidents, contribuent à protéger les actifs informationnels de RBC et à assurer le maintien des opérations pendant et après une cybercrise.

Le Centre administratif de la sécurité, groupe clé au sein de Sécurité mondiale RBC, est une équipe composée de 40 experts qui offre à RBC une vision globale de la cybersécurité. À l’heure actuelle, le principal Centre administratif de la sécurité mondial de RBC est établi à Toronto, et des centres régionaux se trouvent à Vancouver, aux États-Unis et à Londres. Erin Faulkner et Brandon Wittet, membres du Centre administratif de la sécurité, travaillent avec des partenaires de l’ensemble de l’organisation pour protéger la Banque et notre clientèle contre les cybermenaces.

Fort de près d’un an d’expérience au sein de RBC, Brandon décrit son rôle à Vancouver comme étant semblable à celui d’un premier intervenant en médecine, sauf qu’il agit dans le domaine de la cybersécurité. « Nous avons repéré un risque d’incidence négative, et  avons la responsabilité d’être les premiers sur place pour comprendre la situation, et ultimement, corriger l’incident. »

Bien qu’établi à Vancouver, Brandon a toujours senti qu’il faisait  partie de l’équipe de RBC élargie : 

« Je crois qu’une grande partie du mérite revient à l’équipe de direction de Toronto. Ils font un travail exceptionnel en encourageant un environnement où la communication entre les équipes et les membres d’une équipe est une priorité, indépendamment d’où ils se trouvent. Même si certains d’entre nous n’ont jamais rencontré en personne plusieurs des membres de notre équipe, nous sommes tout de même très proches. »

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Erin, qui dirige le Centre administratif de la sécurité de Toronto, partage ce sentiment d’inclusion :

« Nous essayons d’intégrer le plus possible notre nouveau personnel », dit-elle.  « Peu importe le fuseau horaire, les membres de notre équipe méritent notre attention, et nous devons apprendre à les connaître afin de comprendre ce qui est important pour eux dans le cadre de leur parcours professionnel. »

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Erin explique que lorsque l’on dirige une équipe mondiale, il importe de replanifier certaines réunions importantes dans un fuseau horaire plus inclusif : « En élargissant la portée de nos outils de collaboration, nous parvenons à maintenir les contacts en temps réel. Notre équipe de direction s’est également rendue à Vancouver à quelques reprises pour faire connaissance avec l’équipe lors d’un dîner ou autour d’un verre. Nous savons que notre équipe apprécie ces visites. Nous souhaitons nous assurer que chaque personne se sent incluse et jouant un rôle important au sein de l’équipe, peu importe où elle se trouve. »

L’équipe de Vancouver est également très heureuse d’aider à bâtir et à façonner la culture au bureau de Vancouver. « Il s’agit d’un nouvel emplacement pour l’équipe des technologies de RBC, et nous sommes fébriles à l’idée de développer une culture exceptionnelle pour tous les membres. Nous prévoyons organiser des activités de groupe, des rencontres sociales et créer des occasions pour les équipes de Vancouver de se réunir et de mieux se connaître, » ajoute Brandon.

L’objectif du programme pluriannuel mondial du Centre administratif de la sécurité est de veiller à ce que RBC centralise les opérations de cyberdéfense au sein d’un Centre administratif de la sécurité mondial principal, appuyé par deux emplacements régionaux.

Ainsi, « nous pourrons bénéficier d'un horaire de 9 à 5 dans toutes les régions, mais disposer tout de même d’un Centre administratif de la sécurité surveillé en tout temps, sans devoir travailler par quarts.  C’est un avantage pour nous tous, et donc pour l’organisation », explique Erin.


[i] Jurgen Stock, secrétaire général d’Interpol, à la 90e Assemblée générale d’Interpol, à New Delhi, en octobre 2022