Jobbin George | Directeur général, Intervention en cas de cybercrise
Investir dans mon avenir
« Ce qui me plaît à RBC, c’est qu’on investit dans les employés, » déclare Jobbin George. Et cet investissement a inspiré Jobbin à réaliser son potentiel en favorisant des changements importants à la banque pour les employés et les clients.
Jobbin décrit son travail comme « la gestion des cyberincidents dans la chaîne d’approvisionnement parmi d’autres cyberinitiatives stratégiques. » Traduction ? Il combat le cybercrime. « Les malfaiteurs utilisent toute leur imagination pour nuire à la banque - il en faut de la réflexion pour garder la banque en sécurité, » dit Jobbin.
Le parcours pour repousser ces malfaiteurs s’est avéré fascinant et gratifiant. Lorsque Jobbin a fait ses débuts à RBC, la direction lui a demandé de créer un processus de gestion des incidents majeurs qui s’appliquerait à toute la banque. « Ce n’était pas simple, car la banque est immense, » se souvient Jobbin. « Chacun avait sa vision de ce qu’il fallait faire. »
Un petit groupe a donc créé des modèles opérationnels et a rencontré des équipes de la haute direction pour leur présenter leur plan comme étant la voie à suivre. Ils ont ensuite rencontré de plus petits groupes de TI qui occupaient des fonctions similaires au sein de la banque. Chaque semaine, Jobbin et un de ses collègues apportaient de la pizza à une équipe différente pour discuter de la valeur d’un centre intégré tout en mangeant. Lentement, les gens se sont ralliés.
« Pour faire une histoire courte, deux ans plus tard, le projet prenait son envol, » poursuit Jobbin. « Ces efforts ont changé les choses. Le centre de commande de la TI a vu le jour. »
Jobbin explique que le centre de commande, c’est « comme la NASA ». Il y a 18 écrans d'observation et de réaction aux alertes. Si une panne se produit à grande échelle, l’équipe de Jobbin passe à l’action. « On ne s’ennuie jamais quand on est responsable de la gestion des cybercrises. On vit des poussées d’adrénaline et les jours ne se ressemblent jamais, » dit-il.
Outre la lutte au cybercrime, Jobbin participe aussi à Inspiration, un groupe-ressource pour les employés. En compagnie de ses collègues, il travaille à des projets de Diversité, équité et inclusion qui font la promotion de l’égalité en milieu de travail. Jobbin est né à Hyderabad en Inde et il a constaté les effets positifs de ces projets. « La banque est allée plus loin que toute autre institution financière au Canada pour devenir un lieu de travail plus inclusif pour les employés qui se retrouvent dans diverses collectivités. RBC donne aux gens l’occasion de réussir, particulièrement les gens de couleur. »
Jobbin croit fermement que « sans apprentissage, il n’y a pas d’évolution. » Une expérience d’apprentissage a eu une grande influence sur l’évolution personnelle de Jobbin : sa participation au programme de stage en roulement de Technologie et exploitation. Il a passé deux ans à travailler avec quatre équipes différentes sur des projets transformationnels.
Il a commencé son parcours en étudiant la pensée créative et en développant une perspective axée sur l’utilisateur. « C’était très troublant pour moi, » poursuit Jobbin. « Je viens d’un milieu de processus et de procédures où on te répète sans cesse qu’il faut faire ce qui est écrit dans les documents. C’est tout à fait différent maintenant, car je me demande comment améliorer un processus pour l’utilisateur. »
J’ai ensuite travaillé en robotique. J’ai intégré un module d'interaction à un robot humanoïde, Pepper, à la succursale Sherway Gardens de Toronto. Jobbin est ensuite passé à la cybersécurité puis il a conçu des API de produits et de services à Cartes et paiements. Tout ça l’a mené au poste de directeur qu’il occupe actuellement. « Chacun des rôles que j’ai tenus à RBC au cours des cinq dernières années m’a transformé, car j’ai eu l’occasion de travailler avec des leaders extraordinaires, » souligne Jobbin.
Malgré toutes ces expériences à RBC, Jobbin ne tient rien pour acquis. « J’éprouve beaucoup de reconnaissance pour tout ce que la banque a fait pour moi, personnellement et professionnellement. C’est pourquoi je dois donner le meilleur de moi-même chaque jour et aider cette banque à offrir un service supérieur à ses clients. »
Jobbin décrit son travail comme « la gestion des cyberincidents dans la chaîne d’approvisionnement parmi d’autres cyberinitiatives stratégiques. » Traduction ? Il combat le cybercrime. « Les malfaiteurs utilisent toute leur imagination pour nuire à la banque - il en faut de la réflexion pour garder la banque en sécurité, » dit Jobbin.
Le parcours pour repousser ces malfaiteurs s’est avéré fascinant et gratifiant. Lorsque Jobbin a fait ses débuts à RBC, la direction lui a demandé de créer un processus de gestion des incidents majeurs qui s’appliquerait à toute la banque. « Ce n’était pas simple, car la banque est immense, » se souvient Jobbin. « Chacun avait sa vision de ce qu’il fallait faire. »
Un petit groupe a donc créé des modèles opérationnels et a rencontré des équipes de la haute direction pour leur présenter leur plan comme étant la voie à suivre. Ils ont ensuite rencontré de plus petits groupes de TI qui occupaient des fonctions similaires au sein de la banque. Chaque semaine, Jobbin et un de ses collègues apportaient de la pizza à une équipe différente pour discuter de la valeur d’un centre intégré tout en mangeant. Lentement, les gens se sont ralliés.
« Pour faire une histoire courte, deux ans plus tard, le projet prenait son envol, » poursuit Jobbin. « Ces efforts ont changé les choses. Le centre de commande de la TI a vu le jour. »
Jobbin explique que le centre de commande, c’est « comme la NASA ». Il y a 18 écrans d'observation et de réaction aux alertes. Si une panne se produit à grande échelle, l’équipe de Jobbin passe à l’action. « On ne s’ennuie jamais quand on est responsable de la gestion des cybercrises. On vit des poussées d’adrénaline et les jours ne se ressemblent jamais, » dit-il.
Outre la lutte au cybercrime, Jobbin participe aussi à Inspiration, un groupe-ressource pour les employés. En compagnie de ses collègues, il travaille à des projets de Diversité, équité et inclusion qui font la promotion de l’égalité en milieu de travail. Jobbin est né à Hyderabad en Inde et il a constaté les effets positifs de ces projets. « La banque est allée plus loin que toute autre institution financière au Canada pour devenir un lieu de travail plus inclusif pour les employés qui se retrouvent dans diverses collectivités. RBC donne aux gens l’occasion de réussir, particulièrement les gens de couleur. »
Jobbin croit fermement que « sans apprentissage, il n’y a pas d’évolution. » Une expérience d’apprentissage a eu une grande influence sur l’évolution personnelle de Jobbin : sa participation au programme de stage en roulement de Technologie et exploitation. Il a passé deux ans à travailler avec quatre équipes différentes sur des projets transformationnels.
Il a commencé son parcours en étudiant la pensée créative et en développant une perspective axée sur l’utilisateur. « C’était très troublant pour moi, » poursuit Jobbin. « Je viens d’un milieu de processus et de procédures où on te répète sans cesse qu’il faut faire ce qui est écrit dans les documents. C’est tout à fait différent maintenant, car je me demande comment améliorer un processus pour l’utilisateur. »
J’ai ensuite travaillé en robotique. J’ai intégré un module d'interaction à un robot humanoïde, Pepper, à la succursale Sherway Gardens de Toronto. Jobbin est ensuite passé à la cybersécurité puis il a conçu des API de produits et de services à Cartes et paiements. Tout ça l’a mené au poste de directeur qu’il occupe actuellement. « Chacun des rôles que j’ai tenus à RBC au cours des cinq dernières années m’a transformé, car j’ai eu l’occasion de travailler avec des leaders extraordinaires, » souligne Jobbin.
Malgré toutes ces expériences à RBC, Jobbin ne tient rien pour acquis. « J’éprouve beaucoup de reconnaissance pour tout ce que la banque a fait pour moi, personnellement et professionnellement. C’est pourquoi je dois donner le meilleur de moi-même chaque jour et aider cette banque à offrir un service supérieur à ses clients. »
Jobbin George
Directeur général, Intervention en cas de cybercrise
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