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Louise Stevens  |  Directrice générale associée, Spécialistes, Services fiduciaires

Comment une employée « boomerang »
a pu tracer son parcours de carrière
avec l’aide de collègues inspirants

ownown
Karen Snowdon-Steacy

Louise Stevens

Directrice générale associée, Spécialistes, Services fiduciaires
RBC est bien établie à Jersey. Pierre d’angle du secteur des services financiers depuis des décennies, c’est aussi l’un des plus importants employeurs de l’île. RBC y a bonne réputation. Louise Stevens ne l’ignorait pas et avait souvent entendu dire qu’il faisait bon y travailler.

Le moment venu d’entamer sa carrière, elle a tout de suite pensé à RBC.

« C’était mon premier emploi après l’obtention de mon diplôme », se souvient celle qui est entrée à RBC en 2012 au sein de Services aux clients privés. Plus de dix ans plus tard, Louise est directrice générale associée, Spécialistes, Services fiduciaires, de Jersey. C’est un peu un double rôle, explique-t-elle, puisqu’elle doit intégrer les nouveaux clients (contribuant ainsi à l’expansion des affaires) et gérer son propre portefeuille de clients. 

« C’est vraiment très varié. J’ai de nombreuses occasions d’apprendre auprès des directeurs généraux qui m’entourent. Je peux ainsi me perfectionner en expansion des affaires et me familiariser de bout en bout avec l’intégration client. »

Louise n’est parvenue à ce poste qu’après un hiatus de six ans – elle fait partie de ce groupe d’employés de RBC dits « boomerang » et dont le nombre va en augmentant. Sans changer de secteur d’activité, elle a quitté temporairement RBC pour saisir – à Jersey également – la possibilité que lui donnait une société moins importante d’étoffer ses aptitudes. 

« J’ai pu ainsi me familiariser avec d’autres catégories d’actifs et travailler de manière totalement différente. L’occasion était belle de constater combien les choses se font autrement ailleurs que dans une banque multinationale comme RBC. J’ai pu me perfectionner de la façon qui me convenait le mieux alors. »

Au bout de six ans, s’étant hissée à l’échelon des cadres, Louise s’est dit que le développement de sa carrière lui imposait de frayer avec un autre genre d’équipe de direction. 

« Certains des dirigeants que je côtoyais étaient des sources d’inspiration, mais il me fallait une autre vision du leadership si je voulais continuer à progresser. » 

Vers la même époque, Louise apprit d’une personne comptant parmi ses anciens collègues de RBC qu’un poste s’était ouvert au sein des Services fiduciaires.

« J’ai tout de suite saisi l’occasion : c’était la nouvelle étape que j’attendais. Un entretien avec la direction du service m’a convaincue : le moment était venu de revenir à RBC. »

Pour Louise, les possibilités de perfectionnement et d’étoffement des aptitudes étaient les principaux facteurs de motivation.

« Depuis mon retour, j’ai vraiment compris quel éventail de possibilités m’est offert, ce qui confirme que RBC tient vraiment à ce que ses employés acquièrent les aptitudes voulues pour s’épanouir dans leur rôle actuel, aux postes suivants et au fil de leur carrière en général. Chez mon employeur précédent, ce n’était pas si évident. On sent fortement que RBC veut conserver ses gens et les aider à réaliser leur plein potentiel. »

En fin de compte, toutefois, c’est le personnel et les cadres qui ont emporté la décision.

« Je savais qu’à RBC, les dirigeants sont authentiques et inspirants – qu’ils sauraient m’aider dans mon développement de carrière. J’avais déjà eu le plaisir de travailler avec eux, sans compter le généreux régime d’avantages sociaux. À RBC, on prend soin des employés. Il est impressionnant de voir la fidélité de l’effectif. »

« Mais ce qui me frappe vraiment – et qui m’aurait paru banal auparavant –, conclut Louise, c’est la forte cohésion du groupe. Les gens veulent travailler ensemble. RBC a beau être une très grande entreprise, on s’y sent en famille. »