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Créer des liens autour d’un café à RBC

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Un simple café peut vous mener loin... Même jusqu’à New York. C’est ce que Prabhjot Mukkar, un stagiaire à l’interne, a découvert en faisant une présentation à l’improviste à un membre de la direction de RBC dans un ascenseur.

Mukkar venait tout juste de quitter la séance organisée par le groupe RBC4Students sur la plateforme de médias sociaux Ten Thousand Coffees, où des jeunes de la banque rencontrent de hauts dirigeants autour d’un café.

« J’ai vu une directrice à qui je voulais parler quitter la salle pour se rendre à sa prochaine réunion, alors je l’ai suivie jusqu’à l’ascenseur, se rappelle Parbhjot. Nous avons discuté dans l’ascenseur, puis elle m’a invité à l’étage, et nous avons continué de parler. C’est grâce à elle et à d’autres conversations autour d’un café que j’ai découvert l’existence d’une occasion de stage à New York avec Marchés des Capitaux RBC. J’ai envoyé ma candidature et j’ai obtenu une entrevue. »

Ces conversations sont riches, non seulement parce qu’elles font naître des idées pour propulser le potentiel des jeunes et les aider à s’épanouir, mais aussi parce qu’elles offrent des solutions novatrices visant à aider les clients de RBC à prospérer. 
– Zabeen Hirji, chef des ressources humaines

C’est l’essence même de Ten Thousand Coffees à RBC : établir des liens en personne et déterminer ce qui peut aider les jeunes à démarrer leur carrière. « C’est une occasion unique de rapprocher les étudiants et les dirigeants, et aussi de permettre à nos jeunes de rencontrer d’autres collègues à l’échelle de l’organisation grâce à cette plateforme en ligne », explique Brien Convery, directeur, Acquisition de talents prometteurs à RBC.

En juin 2016, la banque a fondé le Café RBC – groupe RBC4Students sur le site basé à Toronto dans le but d’aider quelques-uns des 5 000 étudiants et jeunes qu’elle attire chaque année dans le cadre de stages, de programmes coopératifs ou d’autres occasions. « Nous sommes la toute première et la seule banque sur cette plateforme », ajoute M. Convery.

Parmi les participants RBC, on compte des étudiants, des jeunes occupant déjà un emploi à la banque, des gestionnaires et des membres de la haute direction. Les nouveaux membres créent un profil et rédigent une description de leur bagage, de leurs intérêts et de leurs objectifs. Par la suite, ils peuvent inviter d’autres membres à prendre un café ou encore recevoir une invitation. Il existe également un système de jumelage automatique qui recommande des options de rencontres. M. Convery précise que le premier contact consiste généralement en un échange par clavardage, qui est suivi d’une rencontre en personne autour d’un café. Habituellement, les hauts dirigeants rencontrent les jeunes en petits groupes.

« Les gens disent qu’ils veulent réseauter, mais on s’est rendu compte qu’ils prennent rarement le temps de faire un appel ou d’envoyer un courriel, explique M. Convery. On s’est aperçu que c’est en offrant cette plateforme qu’on arrive à créer une expérience positive non seulement pour les étudiants, mais aussi pour nos gestionnaires et nos dirigeants. »

Ce fut le cas pour Zabeen Hirji, directrice des ressources humaines. « Cet été, j’ai pris un café avec 10 étudiants d’été et du programme coopératif sur la terrasse de la Royal Bank Plaza, à Toronto, explique-t-elle. J’ai été nourrie par les conversations, tout comme je le suis par les étudiants et les diplômés que je rencontre à RBC et dans la communauté. Ils sont curieux, étudient constamment et veulent que leur travail ait des retombées positives. Ces conversations sont riches, non seulement parce qu’elles font naître des idées pour propulser le potentiel des jeunes et les aider à s’épanouir, mais aussi parce qu’elles offrent des solutions novatrices visant à aider les clients de RBC à prospérer. »

Mukkar, qui étudie l’économie financière et l’informatique à l’université Western en plus de travailler à temps partiel pendant l’été à RBC, utilise le système depuis sa création. « Pendant l’été, je vais prendre un café à Toronto au moins une fois par semaine. Et pour les autres emplacements, j’utilise Skype. Je sens que j’ai le pouvoir de créer des liens avec des gens que je peux contacter en tout temps. »

Mukkar est très impressionné par l’environnement à RBC, où les dirigeants recherchent constamment les meilleurs talents. Et selon lui, l’ouverture de la banque quand vient le temps d’aider les jeunes à créer de nouveaux liens est tout à fait unique. « Ça peut mener à des occasions exceptionnelles qu’on n’oserait pas imaginer. »

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Article reproduit avec l’autorisation du magazine de nouvelles de Canada’s Top 100 Employers (2017), publié le 7 novembre 2016 dans The Globe and Mail. © 2016 Mediacorp Canada Inc. et The Globe and Mail. Tous droits réservés.